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10 légendes urbaines effrayantes qui étaient en fait des faits réels

Les légendes urbaines sont généralement des histoires que l’on raconte pour faire peur. Elles n’existent pas et font partie des mythes transmis de génération en génération. Principalement, les légendes urbaines se racontent dans les cours d’école, les soirées entre amis ou même en vacances (colonies, vacances entre amis, etc.). L’avantage, reste que l’on dort sur ses deux oreilles après les avoir entendues, car l’on sait qu’elles relèvent de l’imaginaire. Mais ce n’est pas toujours le cas…

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Voici 10 histoires que l’on prétendait être des légendes urbaines, mais qui en fait, se sont avérées être des faits réels.

1. Le cadavre dans le mannequin

En 1976, une équipe américaine a procédé à un tournage dans une maison hantée. Celle-ci était en réalité une attraction d’un parc à thème en Californie. Pendant l’une des scènes, un mannequin de pendu a perdu l’un de ses bras. L’équipe a tenté de le remettre en place et s’est aperçue d’une chose étrange… Le mannequin semblait posséder de réels os…
Après expertise, il se trouve que les os appartenaient à un ancien criminel répondant au nom d’Elem McCurdy. Celui-ci avait été assassiné en 1911 par un chasseur de primes. À l’époque, un croque-mort avait retrouvé le corps et l’avait embaumé pour en faire un produit de démonstration. Mais un beau jour, un forain qui passait par là a trouvé le corps très bien conservé et s’est fait passer pour le frère du défunt pour le récupérer. Et devinez quoi… Le corps embaumé a donc été utilisé comme élément majeur de la maison hanté de son parc d’attractions !
Depuis, le corps de McCurdy a été enterré en Oklahoma.

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© Source photo : Giphy

2. Être enterré vivant

Il est souvent arrivé que des personnes aient été déclarées mortes à l’hôpital puis se réveillent à leur propre enterrement. Cela constitue en général des histoires plutôt terrifiantes à raconter autour d’un feu. D’après un certain William Tebb, plus de 200 cas identiques ont été recensés à la fin du XIXe siècle.
Il arrive que parfois, lorsque l’on refait des tombes ou pour des raisons particulières, l’on ait retrouvé des traces de griffures à l’intérieur des cercueils. C’est pour cela qu’au début du XXe siècle, des sonnettes ou klaxons puissants étaient installés dans le cercueil, afin que le « mort » puisse signaler qu’il était toujours en vie…
Aujourd’hui, il arrive encore que des personnes se réveillent dans les hôpitaux après avoir été déclarées mortes. C’est d’ailleurs le cas d’un indien d’une cinquantaine d’années qui s’est réveillé juste avant son autopsie dans l’hôpital de Sion en France…

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3. Tuée dans une bibliothèque

Les bibliothèques américaines nous sont toujours représentées comme étant aussi spacieuses et silencieuses qu’une église. De longs couloirs infinis sont séparés par des étagères de livres et lampes vertes suspendues ne dispersent que quelques flux lumineux. Bref, il s’agit souvent d’endroits bien isolés, silencieux et surtout sombres. Idéal pour commettre un meurtre sans être inquiété !
C’est justement ce qu’il s’est passé en 1969. Betsy Aardsma était une jeune étudiante de 22 ans, qui était en train de consulter un ouvrage dans la bibliothèque de Pattee en Pennsylvanie. Elle fut poignardée au beau milieu des allées, sans que personne ne s’en rendre compte. Le meurtre a eu lieu sans un bruit et sans que personne ne voit quoi que ce soit. À ce jour, le meurtrier n’a jamais été démasqué.

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© Source photo : Giphy

4. Le tueur habitait chez les victimes

La famille Gruber vivait paisiblement dans leur ferme à quelque 70 km au nord de Munich, quand un beau jour, ils se sont mis à entendre des pas dans le grenier. Mais ils ne se sont pas inquiétés pour autant puisque des oiseaux ou des rats pouvaient bien en être à l’origine. Un beau jour, Andreas Gruber, le père de famille, a découvert des traces de pas dans la neige, provenant de la lisière du bois, jusqu’à sa ferme, mais aucune empreinte n’en repartait… Puis il découvrit aussi un journal que personne n’avait pris soin de ramener, sans compter que les clés de la maison avaient également disparu. Aucun élément n’avait été rapporté à la police. La domestique a décidé de partir, car elle était effrayée et avait déclaré que la maison était hantée. Le 31 mars 1922, une nouvelle domestique prend ses fonctions. Quelques heures après, un véritable carnage a eu lieu dans cette maison : les parents, la fille veuve, ainsi que ses deux enfants, tout comme la domestique, ont été tués avec une pioche… À ce jour, l’affaire n’a toujours pas été élucidée.

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5. Le chirurgien assassin

Des histoires de médecins maniaques, il y en a des tonnes. Et justement, Glen Tucker en fait partie. Il exerçait dans les années 70 aux États-Unis. Mais il avait des pratiques pour le moins inhabituelles. En effet, il aimait amputer des membres pour son simple plaisir, prétextant par la suite qu’ils étaient nécrosés. De plus, chirurgien plastique, il posait également des implants mammaires difformes. Mais un jour, une patiente se réveilla au beau milieu de son opération du nez et vit une salle d’opération totalement déserte et le médecin en train de pratiquer des choses inhabituelles avec son nez. Elle prit soin de porter plainte à la sortie de l’hôpital et elle se rendit vite compte que le médecin la poursuivait dans les rues.
Inquiété pour ses opérations étranges, Glen Tucker a orchestré sa mort par bateau en 1982. Il fut retrouvé en Floride quelques années après et a préféré mettre fin à ses jours en 2011 plutôt que d’être jugé. Il a d’abord pris soin de tuer sa femme et son chat avant de se donner la mort…

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6. L’ex abominable

Imaginez que vous êtes en couple et que vous décidiez de mettre fin à votre histoire pour des raisons qui vous sont propres. Ce cas de figure arrive assez souvent et Ryan Watenpaugh, un Californien de 34 ans, en a fait les frais. Après avoir infligé des violences et séquestré sa compagne, celle-ci décide de mettre un terme à leur relation en 2014. Quelques jours plus tard, la jeune femme constate la disparition de « Bear », son Loulou de Poméranie. Ryan Watenpaugh a réussi à renouer quelques liens avec sa compagne désemparée suite à la disparition de son chien adoré et en profite pour la réconforter avec un bon petit plat.
Quelques jours plus tard, il lui envoie un SMS lui indiquant que le repas qu’il lui avait cuisiné était en fait son propre chien. Pour en attester, 2 jours plus tard il dépose les restes du chien dans un sac plastique, devant la porte de sa compagne.
Elle décide de porter plainte. L’homme a tout avoué, sauf d’avoir cuisiné le chien. Les enquêteurs n’ont à ce jour jamais retrouvé le cadavre du chien, ce qui prouve (pour le moment) que la jeune femme a bel et bien mangé « Bear »…

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7. Il jouait Scream dans la vraie vie

Une jeune adolescente anglaise de 14 ans a commencé à recevoir des SMS inconnus lui signifiant que quelqu’un l’observait depuis sa propre maison. Elle n’y prêta guère attention en pensant qu’il s’agissait d’un détraqué qui cherchait à l’intimider. Un soir, après avoir reçu un nouveau SMS, elle prit soin de se coucher dans le lit de sa mère. Au beau milieu de la nuit, elle décida de rejoindre son lit, mais constata que des objets avaient changé de place dans sa chambre. En jetant un œil sous son lit, elle y découvrit un jeune homme de 18 ans. Son harceleur a été arrêté sans qu’il n’ait pu avoir le temps de faire quoi que ce soit à l’adolescente.

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8. Quand Charlie No Face prend vie

À Pittsburgh, une légende urbaine circulait depuis des années concernant un certain Charlie No Face. Il était comme une espèce de dame blanche dans la ville, imaginé défiguré par les habitants. Son histoire terrifiait les enfants et faisait bien rire les plus grands. Sauf qu’en réalité, Charlie No Face existait bel et bien. Son véritable nom était Raymond Robinson et il avait été défiguré par une électrocution après avoir joué près d’un convoyeur électrique en 1919.
Par peur du regard des autres, il décida de vivre reclus chez lui et ne sortait que la nuit. Mais il n’avait jamais fait de mal à personne.

9. Les trafics d’organes

Entre 2000 et 2008, pas moins de 500 personnes ont été la proie de trafiquants d’organes humains à New Delhi en Inde. Cela n’est pas une légende urbaine, mais bel et bien un fait réel. En effet, la plupart d’entre eux cherchaient du travail. De fausses propositions leur étaient faites par les trafiquants. Ils les faisaient monter dans des voitures, puis les endormaient au chloroforme. Ceux qui ont eu « la chance » de se réveiller ont pu constater qu’il leur manquait un rein…

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10. Il déterrait les cadavres

Anatoly Moskovin est un historien russe de renom. Il est également spécialiste en histoire de cimetières. En 2011, des enquêteurs se rapprochent de lui pour profiter de ses connaissances en la matière, suite à des délits commis. Mais ils constatent rapidement que l’homme est loin d’être irréprochable. Ce qui mit la puce à l’oreille des enquêteurs était la multitude de jouets et d’habits d’enfants qu’il possédait, alors qu’il n’avait justement pas d’enfants… Puis en rentrant dans son appartement, la police a découvert des poupées à taille humaine, habillées avec des vêtements d’enfants. L’odeur était très particulière et en s’approchant, les policiers ont rapidement compris qu’il ne s’agissait pas de poupées, mais de corps humains momifiés.
Lors de son procès, il a expliqué que pendant 10 ans, il déterrait des corps de fillettes dans la nuit pour les momifier et les conserver chez lui. Dans certains cas, lorsque la technique ne fonctionnait pas, il remettait le cadavre dans sa tombe. 29 corps ont ainsi été découverts chez lui, sur les 150 qu’il a annoncé avoir déterrés.

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Source : Cracked