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15 DJ français qui ont bien fait de changer de nom

Le pseudo du DJ est sa carte de visite, son outil principal de marketing. Il indique son style, s’il est « in », s’il va enflammer la piste de danse ou au contraire la vider, alors ça doit claquer. Donc rares sont nos DJ qui peuvent se contenter de leur nom de baptême, surtout s’ils veulent percer outre-Atlantique. Mais pour certains, c’est carrément une question de survie, tant leurs noms contrastent avec leurs aspirations.

Illustration : "15 DJ français qui ont bien fait de changer de nom"

Voici les vrais noms de 15 DJ français connus et vous verrez qu’ils ont vraiment bien fait de prendre un pseudo...

1. Martin Laurent Picandet (Martin Solveig)

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© Crédits photo (creative commons) : TCJ

« Picandet » ça fait plus penser à un retraité qui passe ses journées à faire de la pétanque au village qu’au roi de la French Touch. Alors que « Solveig » ça a un style. Et cela lui a plutôt réussi...

2. Louis Rogé (Brodinski)

« Louis Rogé » ça faisait carrément « beauf essayant de draguer les minettes au bal du village », alors que « Brodinski », ça ajoute une petite touche de mystère venu de l’Est... Beaucoup mieux pour percer en Techno.

3. Christophe Le Friant (Bob Sinclar)

« Le Friant » : trop avide, on l’imagine la bave aux lèvres. « Bob Sinclar » ça fait agent secret, c’est autre chose.

4. David Pierre Guetta (David Guetta)

Heureusement qu’il a laissé tomber son 2e prénom, mais sinon ce qu’il a gardé sonne bien, c’est court, direct, facile à prononcer dans diverses langues...

5. Hugo Leclercq (Madeon)

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© Crédits photo (creative commons) : Guillaume Highwire from Paris, France

« Leclercq » c’était trop franco-français pour évoluer dans l’Electro House. L’anagramme proche de « démon » ça sonne mieux.

6. Laurent Debuire (Laurent Wolf)

Le loup, l’animal sauvage qui a les dents longues, il joue avec cette image sur ses photos de promo... ça crée un mystère, et puis c’est court, sec, dynamique. Alors que « Debuire »...

7. Thibaut Berland (Breakbot)

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© Crédits photo (creative commons) : Jelicuapio

Thibaut Berland qui fait de la musique ça fait trop ménestrel en collants, alors que « Breakbot » c’est tendance.

8. Valentin Brunel (Kungs)

Valentin : trop romantique pour le roi de la Deep House. Mais on ne se refait pas, même si son pseudonyme semble percutant, il signifie juste « gentleman » en letton !

9. Mehdi Benjelloun (Petit Biscuit)

Difficile de dire si « Petit Biscuit » est un progrès...

10. Anouar Hajoui (Cut Killer)

Cut Killer a dû entendre tous les jeux de mots possibles sur son nom de famille, à force il en a eu marre alors il a choisi un nom de scène radical, qu’on prend au sérieux direct.

11. Pierre-Alexandre Busson (Yuksek)

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© Crédits photo (creative commons) : Bourcet Romain

Avec un nom à rallonge pareil, il ne serait pas allé bien loin, alors qu’en se faisant appeler Yuksek, il est garanti d’atteindre les sommets car cela signifie « haut » en turc. Le rapport avec la Turquie ? Reims... le Grand Est ?

12. David Paparusso (David Vendetta)

Un DJ avec « papa » dans son nom, on pense tout de suite aux Pampers, donc non. Mais « David ...tta » ça fait immédiatement penser au « grand patron », David Guetta. Et « Vendetta » ça fait gangster...

13. Vadim Arnaud Constentin (Arno Cost)

En court c’est mieux.

14. Laurent Arriau (Watermät)

C’est sûr, Julien Doré a lancé une mode avec son utilisation de signes diacritiques, et en voici encore un exemple avec le nom à tréma.

15. Jérémy Souillart (Møme)

A part le parallèle avec le titre de Julien Doré, et la tendance aux mots pseudo-nordiques on ne voit pas trop d’où vient son nom... Peut-être qu’on l’appelait Mimi quand il était môme ? Toujours est-il que « Jérémy Souillart » ça n’allait pas...

16. Bonus: Maurice Péjut (DJ Péjut)

Oui, « Maurice Péjut » ça sonnait trop « beauf-qui-organise-des-soirées-pour-retraités », mais « DJ Péjut » crée un contraste intéressant, ironique.